Journée d'étude

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

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Comité d'organisation : Grégory Benedetti et Véronique Molinari

9h00 : Accueil
9h30-10h00 : Thomas Stewart : “Realignment and the Scottish National Party in Dundee in the 1980s and 1990s”
10h00-10h30 : Karine Rivière Franco : « Les partis politiques britanniques et le vote des femmes : évolution des stratégies depuis 1918 »
10h30-11h00 : Pause café
11h00-11h30 : Géraldine Castel “Digital Politics in the UK twenty years on : What impact on engagement and mobilisation ?”
11h30-12h00 : Questions/ Discussion  
 
12h00-13h30 : Pause déjeuner
 
13h30-14h00 : Salian Sylla “Between woman’s vote and black suffrage: Woodrow Wilson and the new Democratic Party”
14h00-14h30 : Olivier Richomme “Empowering minority voters in the U.S.: the paradoxes of gerrymandering in the age of conjoined polarization”
14h30-15h00 : Pause café
15h00-15h30 : Jacob Maillet “From dog-whistle politics to the bullhorn: Republican strategies and the white electorate"
15h30-16h00 : Questions/ Discussion  
 

• En savoir plus sur A la (re-)conquête des électorats / (Re-) mobilizing voters

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Direction scientifique : François Genton, Professeur à l’Université Grenoble Alpes, Directeur de l’Institut des Langues et Cultures d’Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie, et Philippe Gréciano, Professeur à l’Université Grenoble Alpes, Chaire Jean Monnet.

L’Institut des Langues et Cultures d’Europe, Amérique, Afrique, Asie et Australie (ILCEA4) et la Chaire Jean Monnet sur les Relations franco-allemandes, l’intégration européenne et la mondialisation, en partenariat avec le Centre d’Etudes sur la Sécurité Internationale et les Coopérations Européennes (CESICE) de l’Université Grenoble Alpes organisent une journée d’études le 21 mars 2019, consacrée aux relations franco-allemandes face aux enjeux de la mondialisation dans une perspective interculturelle et pluridisciplinaire. Cette manifestation souhaite convoquer un large public et associer plusieurs spécialistes des relations franco-allemandes et des études internationales pour traiter les questions posées par les défis de la mondialisation dans une perspective politique, stratégique et juridique.
 
Les enjeux actuels de la mondialisation sont protéiformes et l’Europe est en pleine crise d’identité structurelle. Le moteur franco-allemand  tarde à se (re)lancer et à proposer de nouvelles initiatives pour surmonter les problèmes structurels auxquels l’Union européenne doit faire face. L’exemple de la crise migratoire mondiale accentue encore davantage le fossé entre les pays européens et fragilise toujours plus les systèmes d’immigration et d’asile qui ne sont pas harmonisés. Le danger du terrorisme guette partout, que ce soit en France, en Allemagne ou dans d’autres régions du monde dominées par la terreur et les attentats aux motivations extrémistes qui ont des incidences importantes sur l’ensemble du continent européen. La poussée populiste en Europe, d’Est en Ouest, les tendances centrifuges renforcées par le Brexit, la politique isolationniste et protectionniste du président Trump aux Etats-Unis représentent autant de défis auxquels est confrontée l’Union Européenne. Face à ce constat, le couple franco-allemand doit retrouver un nouvel élan et proposer de nouvelles pistes de réflexions permettant de relever les défis de la mondialisation. Politique, économie et diplomatie doivent-ils être repensés ? L’actualité permet-elle de reconsidérer les liens entre la France et l’Allemagne dans un monde en pleine mutation ? Quelles sont les perspectives d’avenir pour le tandem franco-allemand dans une Europe en pleine crise ?
 

• En savoir plus sur Les relations franco-allemandes à l’épreuve de la mondialisation

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Julio Cortázar est sans doute un écrivain de territoires : il nous déplace avec son écriture dans l’espace comme dans le temps, construisant dans les méandres de son imagination un être en devenir, toujours palpitant dans des interstices au sein desquels il nous invite à nous perdre ou à nous retrouver, à nous réinventer toujours…  Dans le cadre de nos recherches de l’axe « Création culturelle et Territoire(s) » nous organisons cette journée d’études qui réunira des spécialistes universitaires autour de cet auteur fondamental de la littérature latino-américaine, que le programme de l’agrégation d’espagnol 2018-2019 nous offre l’occasion d’étudier avec l’exigence et l’attention requises.
La deuxième partie de la journée sera consacrée à la projection du film documentaire de Sonia Prior Cortázar sin Cortázar (2015, 78’), en présence de sa réalisatrice, et au dialogue avec Raquel Thiercelin, amie de l’auteur et spécialiste de son œuvre. Ces témoignages, aussi bien ceux du film que celui de Raquel Thiercelin, nous permettront d’aborder autrement l’impact que la création de Julio Cortázar a sur ses lecteurs.

13h45 Presentación de la jornada

14h-15h Raúl Caplán, moderador

14h00 Carmen de Mora (Universidad de Sevilla). Transformaciones de lo fantástico en Queremos tanto a Glenda

14h20 Cecilia González Scavino (Université de Bordeaux). Avatares de la cultura popular en los cuentos de Julio Cortázar. De « Las puertas del cielo » a « Tango de vuelta »

14h40 Preguntas

15h-16h Olga Lobo, moderadora

15h00 Marta Inés Waldegaray (Université de Reims-Champagne). Rayuela, poética de un pensamiento antinovelístico

15h20 Daniel Mesa (Universidad de Zaragoza). Rayuela: varia lección

15h40 Preguntas

Pausa

16h30-18h30 Proyección de « Cortázar sin Cortázar » ( Sonia Prior, 2015, 78’) en presencia de la directora

18h30-19h30 Mariángeles Fernández (periodista y editora) « Diálogo con Raquel Thiercelin : la amistad de los cronopios »
 

• En savoir plus sur Territorios cortazarianos : de Rayuela a Queremos tanto a Glenda

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Selon l’ONU, 55% des individus vivent dans une ville, un chiffre qui est beaucoup plus élevé dans les pays industrialisés – aux États-Unis et au Canada, on atteint même 80%. Les villes sont une donnée majeure du monde actuel : non seulement elles concentrent la majorité de la population mondiale mais elles polarisent également les flux – de marchandises, de personnes et de capitaux – faisant d’elles des acteurs centraux dans la mondialisation. Cette demi-journée d’étude, qui s’insère dans l’axe transversal « migrations, frontières et relations internationales » vise à réfléchir sur les villes contemporaines et les dynamiques qui les structurent pour mettre en évidence des éléments de définition et voir comment la ville est un « espace vécu » (Frémont 1974), par les individus.



Intervenants :

Paulette Duarte  (Université Grenoble Alpes - PACTE)

"Villes : définitions et limites d'un concept"

Daisy Waked (University of Kaslik)

"Reading the City as Text in Contemporary American Literature"

Fanny Vuaillat (Université Grenoble Alpes - PACTE)

"Imaginaires et représentation des espaces urbains"



Contacts :

Pierre-Alexandre Beylier

Salam Diab-Duranton

 

• En savoir plus sur Villes : définitions et pratiques

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En fait, ce changement n’est qu’à peine entamé : le Japon, ainsi que la France doivent se confronter à une forte relativisation de leur statut international au cours du XXI^e siècle, alors que de nouvelles puissances en plein essor se plaignent souvent qu’elles ne sont pas pleinement comprises par l’« ordre ancien », à cause de l’hégémonie médiatique et intellectuelle de ce dernier. Une ouverture à divers jugements de valeurs est plus que jamais une urgence, afin d’écouter – sinon de comprendre ou d’accepter – ce que nous disent la culture, les comportements ou la société de ceux avec qui l’on ne partage ni les jugements de valeurs, ni mêmes les habitus physiques ou les représentations non-verbales. En effet, la valeur qu’on attribue à l’Autre est indissociable du degré d’écoute qu’on a pour ses valeurs.

Par ailleurs, après nous être intéressés aux phénomènes du transfert de savoir, de culture ou de technologie, nous devons considérer la question de la confrontation des valeurs dans son épaisseur historique. En effet il s’avère que, dès l’aurore de l’histoire globale, toutes les parties du monde ont interagi et se sont plus ou moins liées les unes avec les autres. Notre rencontre sera ainsi une occasion d’accumuler des exemples qui nous permettront de nuancer les méthodes interculturelles simplistes qui présupposent le Moi et l’Autre comme entités séparées. Elle nous imposera également de réexaminer nos modalités de penser et de nous exprimer, modalités souvent définies par le courant pédagogique d’une époque et/ou d’un pays.

Enfin, toutes ces problématiques sont particulièrement ouvertes aux jeunes chercheurs pour lesquels la participation à cette journée d’étude sera une occasion de se confronter à la fois à la spécialisation et à l’interdisciplinarité.

- Les langues du colloque sont le français ou l'anglais. Si vous choisissez d'écrire en français, nous vous demanderons de fournir un exemplaire ou diaporama avec une traduction anglaise. 

- Nous attendons les propositions de communication pour le 31 décembre 2018. 

Contacts :

Daniel.rojasuniv-grenoble-alpes.fr (Daniel[dot]rojas[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)

corinne.denoyelleuniv-grenoble-alpes.fr (corinne[dot]denoyelle[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)

taku.kuroiwa.a1tohoku.ac.jp (taku[dot]kuroiwa[dot]a1[at]tohoku[dot]ac[dot]jp)

• En savoir plus sur Journée d'étude internationale "Les valeurs de l'Autre"

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Dans le cadre du projet IDEX PLANETAS et du projet européen ROSE (Romantic Skies in Europe), cette journée d’études interdisciplinaire et transversale intitulée « ARTS-STAR. Les astres dans la poésie et les arts de l’Antiquité au Romantisme », fruit de la collaboration entre un spécialiste de la littérature latine (Litt&Arts) et une spécialiste de littérature britannique (ILCEA4), rassemble des chercheurs en astrophysique, en littérature ancienne, en théâtre et en poésie britannique autour de l’exploration et de la représentation des corps célestes (étoiles, planètes, musique des sphères) dans les processus d’écriture ou de production artistique de l’antique au romantique.

• En savoir plus sur ARTS-STAR. Les astres dans la poésie et les arts de l’Antiquité au Romantisme

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Cette manifestation souhaite convoquer un large public et associer plusieurs spécialistes des relations franco-allemandes et des études internationales pour traiter les questions posées par les défis de la mondialisation dans une perspective historique, économique, politique et sociale.

Les enjeux actuels de la mondialisation sont protéiformes et l’Europe est en pleine crise d’identité structurelle. Le moteur franco-allemand tarde à se (re)lancer et à proposer de nouvelles initiatives pour surmonter les problèmes politiques économiques et sociaux auxquels l’Union européenne doit faire face. L’exemple de la crise migratoire mondiale accentue encore davantage le fossé entre les pays européens et fragilise toujours plus les systèmes d’immigration et d’asile qui ne sont pas harmonisés. Le danger du terrorisme guette partout, que ce soit en France ou en Allemagne mais aussi dans d’autres régions du monde dominées par la terreur et les attentats aux motivations extrémistes qui ont des incidences importantes sur l’ensemble du continent européen. La poussée populiste en Europe, de l’ouest à l’est du continent, les tendances centrifuges renforcées par la victoire du Brexit au référendum du 23 juin 2016, la politique isolationniste et protectionniste du président Trump aux États-Unis d’Amérique représentent autant de défis auxquels est confrontée l’Union Européenne. Face à ce constat, le couple franco-allemand doit retrouver un nouvel élan et proposer de nouvelles pistes de réflexions permettant de relever les défis de la mondialisation.



Politique et diplomatie doivent-ils être repensés ? L’actualité permet-elle de reconsidérer les liens entre la France et l’Allemagne dans un monde en pleine mutation ? Quelles sont les perspectives d’avenir pour le tandem franco-allemand dans une Europe en pleine crise institutionnelle ?



Cette rencontre a pour objet :

- d’étudier les relations franco-allemandes dans une perspective historique et interdisciplinaire ;

- d’examiner les priorités et tendances à l’oeuvre dans les relations franco-allemandes face à la mondialisation ;

- de mettre en perspective les relations franco-allemandes dans le processus d’intégration européenne et les défis auxquels ces relations doivent aujourd’hui faire face.



Les propositions, composées d’un résumé de 300 mots et de 5 mots clés, seront à envoyer pour le 15 novembre 2018 à Philippe Gréciano, titulaire de la Chaire Jean Monnet, Université Grenoble Alpes :

Philippe.Grecianouniv-grenoble-alpes.fr (Philippe[dot]Greciano[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr) 

et à François Genton, Directeur de l’ILCEA 4, Université Grenoble Alpes :

Francois.gentonuniv-grenoble-alpes.fr (Francois[dot]genton[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)



Une publication, en langue française, est prévue. Les contributeurs devront envoyer leur texte avant le 30 avril 2019.

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Cette journée d’étude pluridisciplinaire se donne ainsi pour objectif d’aborder différentes formes et pratiques de la légitimation tant dans la dimension discursive qu’actionnelle. Car tout discours s’inscrit dans le cadre actionnel qui lui est propre, et c’est dans ce cadre que prend forme le projet d’influence du sujet communicant nécessitant la légitimation. Discours et action sont ainsi considérés comme deux éléments de l’échange social à la fois autonomes et interdépendants. L’action politique, économique ou sociale suivant ou précédant la mise en discours des éléments de sa légitimation poursuit des enjeux souvent similaires dans les pays différents qui sont repris dans des stratégies de communication politique. Cette proximité des enjeux visant à (dé)légitimer une action post-factum ou rendre (il)légitime les préparatifs d’un événement ou projet politiques s’appuie-t-elle sur les mêmes procédés discursifs, communicatifs, règlementaires dans aires géographiques et culturels divers ? Peut-on parvenir à imposer la perception identique de l’événement au groupe d’individus sachant que chacun peut avoir sa propre lecture ou vision des faits qui ne sauraient exister objectivement ?

• En savoir plus sur La légitimation du politique : discours, acteurs, pratiques

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• En savoir plus sur L'ILCEA4 organise la 3e session des journées d'étude de son programme transversal "Passages, ancrage"