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Appel à propositions

Les mutations des discours médiatiques : approche contrastive et interculturelle

Appel à propositions Recherche Du 8 juillet 2020 au 9 octobre 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Université Grenoble Alpes

Colloque international co-organisé avec la Westsächsische Hochschule Zwickau (Allemagne) dans le cadre du thème transversal « Médiation, lexicologie, traduction, domaines spécialisés ».

Ce colloque international et interdisciplinaire devrait offrir aux participant/es la possibilité de mettre en relation les différentes approches, perspectives et traditions scientifiques utilisées par les chercheurs/ses issus/es de différents pays. Il vise à établir un dialogue entre les disciplines de la linguistique, de la sémiotique, des sciences de l’information et de la communication, de l’histoire, de la sociologie, des sciences de l’éducation.



Par ailleurs, ce colloque souhaite accorder une place importante aux jeunes chercheurs/ses en leur donnant la possibilité de présenter leurs travaux en cours ou leur projet de recherche, de participer à des discussions et de commencer à développer un réseau international avec d’autres jeunes chercheurs/ses ou des chercheurs/ses confirmé/es. Nous les invitons vivement à soumettre des propositions de communication et/ou à participer à la table ronde.



Langues de travail : toutes

Langues du colloque : français, allemand, anglais



Les propositions (titre, résumé de 500 mots maximum, mots clés, et références bibliographiques) seront accompagnées d’une brève biobibliographie indiquant le statut, l’affiliation institutionnelle ainsi que les publications significatives.

Celles-ci sont à envoyer avant le 15 septembre 2020 à Nadine.Rentelatfh-zwickau.de (Nadine[dot]Rentel[at]fh-zwickau[dot]de) et Dominique.Diasatuniv-grenoble-alpes.fr (Dominique[dot]Dias[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr).

Contacts

Dominique Dias

Nadine.Rentelatfh-zwickau.de (Nadine Rentel)

Poésique 2020 - La musique des sphères

Appel à propositions, Colloque Recherche Du 30 avril 2020 au 15 juillet 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Ce colloque est co-organisé par Caroline Bertonèche et Anne Cayuela les 3 et 4 décembre 2020. Ce troisième et dernier volet de «Poésique», après s’être intéressé à la chanson et à la traduction en lien avec la poésie, portera cette fois sur l'astronomie et la musique.

Nous invitons les spécialistes de musique, de poésie, d’astrophysique ou de mathématiques, et de bien d’autres domaines encore, à proposer des contributions sur ces thématiques qui couvrent un périmètre suffisamment large pour englober tous les styles et toutes les langues, en favorisant autant l’interdisciplinarité que le croisement des différents champs et sphères (encore elles !) du savoir au sein d’une même discipline.



Les propositions (un résumé de la communication de 300-­500 mots + une courte biobibliographie) sont à envoyer d’ici le 15 juillet 2020 à : 

caroline.bertonecheatuniv-grenoble-alpes.fr (caroline[dot]bertoneche[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr) et anne.cayuelaatuniv-grenoble-alpes.fr (anne[dot]cayuela[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)

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Les écritures de non-fiction en Amérique latine (fin XXe - début XXIe siècles)

Appel à propositions Recherche Du 20 avril 2020 au 30 juin 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Journée d'étude organisée par Raul Caplan (équipe du CERHIS) le 16 octobre 2020.

Cette journée d’étude s’insère dans le Projet "Réseau international Non Fiction. Vers une autre écriture du réel" (International Non fiction novel network) lancé par Claudio Milanesi et Dante Barrientos Tecún du CAER, Aix-Marseille Université (AMU). Après l’organisation d’un Workshop / atelier de travail à AMU les 12 et 13 décembre 2019, ce réseau se met en place actuellement avec la participation d’enseignants-chercheurs de plusieurs universités (Paris Nanterre, Université de Chieti Pescara, Università Roma 3, Università di Napoli l’Orientale, Université de Milan, Universidad de Costa Rica, AMU et UGA) et a pour vocation de devenir un projet de recherche sur plusieurs années.

La journée du 16 octobre sera consacrée aux écritures non fictionnelles en Amérique latine aux XXe et XXIe siècles, et elle sera suivie par une autre journée consacrée au domaine italien en 2021.



Cette journée d’étude se propose d’approcher les nouveaux auteurs, mais aussi d’autres auteurs confirmés (comme Mario Vargas Llosa, dont plusieurs de ses derniers romans sont en partie des oeuvres de non-fiction : El sueño del Celta, Tiempos recios) afin de faire un point sur la non-fiction et ses nouvelles formes en Amérique latine des trente dernières années. L’objectif est d’ouvrir des pistes de réflexion historiques, critiques et épistémologiques sur la non-fiction, objet qui reste à définir et à mieux caractériser (Est-il un genre ? Une modalité d’écriture ? Peut-on distinguer différentes formes ou catégories de non-fiction ?)



Si vous souhaitez participer à cette journée d’étude, envoyez un titre et un résumé de votre proposition avant le 30 juin 2020 à l’adresse suivante : raul.caplanatuniv-grenoble-alpes.fr (raul[dot]caplan[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)
Raul Caplan raul.caplan [at] univ-grenoble-alpes.fr

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Elections présidentielles de 2020 : Quels États-Unis ?

Appel à propositions Recherche Du 20 avril 2020 au 15 juin 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison des Sciences de l’Homme

Journée d'étude sur les élections présidentielles américaines organisée par Grégory Albisson, Grégory Benedetti et Pierre-Alexandre Beylier le 22 octobre 2020.

Les propositions soumises pourront s’articuler autour de trois axes : Le premier interrogera le bilan du premier mandat de Donald Trump ainsi que ses perspectives de réélection. Le second axe se concentrera sur le projet démocrate, un parti en reconstruction. Un dernier axe s’attachera à analyser les enjeux et stratégies électoraux.



Les propositions sont à envoyer d’ici le 15 juin 2020 à l’adresse suivante : electionus2020atgmail.com



Les communicants recevront une réponse début juillet 2020.



Cette journée d'étude se veut transdisciplinaire donc toutes les approches sont les bienvenues.

Contacts

gregory.albissonatuniv-grenoble-alpes.fr (Grégory Albisson)

Grégory Benedetti

Pierre-Alexandre Beylier

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Littérature de jeunesse et écologie

Appel à propositions, Colloque Recherche Du 31 mars 2020 au 7 septembre 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Université Grenoble Alpes
Amphithéâtre MSH-Alpes
1221 avenue centrale
38400 Saint-Martin-d’Hères.

Colloque co-organisé par l’ILCEA4 et LITT&ARTS (Université Grenoble Alpes).

Les œuvres pour la jeunesse se voient fréquemment assigner une finalité didactique et édifiante. Il n’est donc pas surprenant qu’elles soient utilisées pour véhiculer un message écologiste, manifestant ainsi une forme d’engagement.

Les organisateurs sont intéressés par toutes les communications qui viendraient apporter des éclairages sur ces questions et thématiques à travers l’étude d’œuvres littéraires (francophones ou internationales), tant pour les enfants que pour les adolescents, qui véhiculent un message écologiste.

Langues de travail : français, anglais.



Les propositions (titre, résumé de 2 000 caractères maximum, mots clés, et références bibliographiques) seront accompagnées d’une brève biobibliographie de 1 500 caractères maximum comprenant statut, établissement et unité de recherche ainsi que les publications significatives.

Celles-ci sont à envoyer avant le lundi 7 septembre 2020 aux adresses suivantes : Eleonore.Cartellieratuniv-grenoble-alpes.fr (Eleonore[dot]Cartellier[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr) et Chiara.Rameroatuniv-grenoble-alpes.fr (Chiara[dot]Ramero[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr). Un retour sera donné courant décembre.

Comité d’organisation : Éléonore Cartellier, Sylvie Martin-Mercier, Anne-Marie Monluçon, Chiara Ramero, Natacha Rimasson-Fertin, Laure Thibonnier.

Comité scientifique : Éléonore Cartellier (PRAG), François Genton (PR), Serenella Iovino (PR), Sylvie Martin-Mercier (MCF), Jean-François Massol (PR émérite), Nathalie Prince (PR), Chiara Ramero (PRCE), Natacha Rimasson-Fertin (MCF), Sébastian Thiltges (post-doctorant).

Informations et ressources sur https://ldjgrenoble.hypotheses.org/colloque-2021

Eléonore Cartellier eleonore.cartellier [at] univ-grenoble-alpes.fr

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Communs, ONG et crise globale : quelles stratégies mettre en œuvre ?

Appel à propositions Recherche Du 10 mars 2020 au 31 août 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire, Grenoble - Centre ville

Complément lieu

Université Grenoble Alpes

Appel à communication pour un colloque international co-organisé par Yves Achille (ILCEA4), Joseph Dato et Alain Dontaine (ILCEA4) en novembre/décembre 2020.

Dans le prolongement de l’ouvrage pluridisciplinaire « Mondialisation et exclusions » qui doit paraître à l’automne 2020 aux éditions du CNRS, des chercheurs de l’ILCEA 4, le présent colloque se propose de rechercher et d’explorer pour la société civile les voies susceptibles de bousculer le statu quo actuel face aux défis économiques, sociaux et écologiques. La conjonction actuelle de ces différents niveaux de crise montre bien qu’il s’agit d’une crise profonde du système d’accumulation actuel. La crise est endogène, inhérente au fonctionnement de la globalisation économique et financière ; elle ne résulte pas de chocs exogènes dus à des phénomènes contingents. Elle sanctionne les dysfonctionnements majeurs d’une régulation – ou plutôt d’une absence de régulation – centrée sur le marché qui aboutit à l’éclatement des sociétés sous l’effet des inégalités de revenus et de patrimoines comme de la détérioration des biens publics. Elle souligne l’impératif de passer à un nouveau mode d’accumulation centré sur la transition écologique et la redistribution économique et sociale. Construire ce « post capitalisme des Communs » suppose la réappropriation de l’État par l’irruption de la société civile sur la scène politique et l’invention de nouveaux rapports à la fois avec l’État, la société (nécessité de rendre des comptes) et le marché. Le but de ce colloque est de tenter de mieux cerner les enjeux du passage à ce nouveau mode d’accumulation à venir, à travers le croisement de regards venant de différents champs disciplinaires. La problématique retenue pourra donc intéresser des chercheurs des différentes disciplines des sciences sociales (économie, sciences politiques, philosophie, anthropologie…) ou des chercheurs en civilisation.

 
  • Le premier axe retenu pour les propositions de contribution porte sur la capacité de la société civile – et particulièrement des ONG – à remédier à ces dysfonctionnements. La montée en puissance de ces acteurs de la société civile en parallèle à l’affaiblissement des États ne s’est pas accompagnée d’une grande efficacité de leur action. D’une part, le contexte de crise actuel les prive des moyens d’intervention dont ils bénéficiaient par le passé. D’autre part, la légitimité qui leur a été conférée par les organisations internationales a eu pour conséquence de les placer dans une course aux financements et à la marchandisation qui entraîne une dégradation de leur image. Enfin, leur instrumentalisation par les États au travers de leur engagement humanitaire accentue les critiques portées à leur encontre et interroge quant à leur aptitude à refléter l’intérêt général. Elles ne sont que très peu démocratiques et transparentes. Les ONG ne constituent actuellement qu’une réponse très partielle aux problèmes d’exclusion. La question se pose donc d’une réforme de leur mode de gouvernance et de leur structuration en réseaux afin d’apporter des solutions aux problèmes globaux (eau, climat, inégalités…) que les organisations internationales et les États sont dans l’incapacité de réguler.
    • Comment construire des dispositifs de surveillance des ONG indépendants et démocratiques ?
    • Comment construire des structurations internationales qui dépassent les oppositions liées à l’idéologie ou aux stratégies de chaque ONG ?
    • Comment rompre totalement avec la logique actuelle qui repose sur la délégation donnée à des tiers, les ONG, pour se donner bonne conscience tout en restant dans l’inaction ?
    • Quels liens développer entre l’action locale portée par les associations, les prises de position politique des mouvements citoyens et les ONG nationales ou internationales ?
    • Comment systématiser les stratégies d’interpellation du pouvoir par les mouvements citoyens et leur donner une plus grande portée ?
 
  • Le deuxième axe s’interroge sur les possibilités de trouver d’autres formes d’action sociale constituant des alternatives au capitalisme qui restent à la fois en phase avec la globalisation mais tentent également d’échapper aux logiques d’exclusion que ce système d’accumulation véhicule. Face à un État soumis aux intérêts privés et incapable de prendre en compte l’intérêt général, la construction collective de communs paraît une proposition séduisante à maints égards. Elle permet de surmonter la crise de représentation par une réappropriation du politique et constitue une réponse qui peut s’affirmer aussi bien au niveau local qu’au niveau global. Les Communs offrent en effet la possibilité d’une reconstruction de la démocratie : réorganiser la société autour de la gestion des Communs permet à la fois la reconquête de libertés et de droits réels pour les individus (droit à l’emploi, au logement…) et la réinsertion du citoyen dans un espace de décision collective démocratique à travers la pratique politique de l’appropriation collective. Le deuxième temps du colloque se propose donc de rechercher les conditions par lesquelles s’élaborera un nouveau régime politique susceptible de reconstruire des biens communs dévastés par trois décennies de fondamentalisme de marché, dans le cadre d’institutions à même d’assurer l’équité, l’intégration sociale et la démocratie. En particulier, les contributions pourront tenter de répondre aux interrogations suivantes :
    • Quels sont dans l’environnement actuel les exemples de communs susceptibles de répondre aux défis auxquels nous sommes confrontés ?
    • Quelles sont les difficultés rencontrées et comment y remédier ?
    • Comment dépasser la dimension locale pour construire des articulations à l’échelle nationale et supranationale ?
    • Comment lutter contre la désaffection à l’égard du politique et reconstruire des processus réellement démocratiques à partir des communs ?
    • Comment utiliser les nouveaux modes de communication (réseaux sociaux…) pour contourner la pensée unique façonnée par le système médiatique traditionnel ?
 

Les propositions de contribution écrites en français devront être accompagnées d’un résumé compris entre 300 – 500 mots et d’un C.V. synthétique d’une page. Elles devront être envoyées avant le 31 août 2020 à yves.achilleatuniv-grenoble-alpes.fr (yves[dot]achille[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)

Le comité scientifique examinera ces propositions et donnera ses réponses avant le 15 septembre 2020.

 

Localisation : Centre-ville de Grenoble (salle Juliet Bertho ou maison du tourisme)

 

Comité d’organisation : Yves ACHILLE, Joseph DATO, Alain DONTAINE
Yves Achille yves.achille [at] univ-grenoble-alpes.fr

Discours de colère dans le monde arabe depuis 2011

Appel à propositions Recherche Du 27 novembre 2019 au 1 février 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Université Grenoble Alpes

Colloque international organisé par Salam Diab-Duranton (CREO) les 28 et 29 mai 2020.

Des linguistes, des littéraires, des historiens, des sociologues, des politistes ainsi que des spécialistes de l’information et de la communication, sont invités à mettre en commun leurs questionnements sur la colère arabe et ses répercussions sociales, politiques linguistiques et culturelles. Sont notamment attendus des travaux de recherche transdisciplinaires inédits qui abordent tous les aspects du discours de colère dans le monde arabe, entre autres :
  • Les modes d’expression de la colère populaire (tracts, graffitis, slogans, poèmes, hymnes, vidéos, etc.).
  • Les aspects rhétoriques de la colère (modes de persuasion, de manipulation, de mobilisation, traits stylistiques, etc.).
  • Les différents niveaux de lutte linguistique et discursive entre les discours du pouvoir en place et ceux de masses protestataires.
  • Les innovations et créativités linguistiques, individuelles comme collectives, telles que les nouvelles lexies et expressions, les proverbes et hymnes détournés et/ou réappropriés, les blagues, etc.
  • L’hybridité sémiotique des discours de colère : les manifestations, les fonctions, les enjeux et les impacts, avec une attention particulière à la combinaison entre l'image, l'icône, le langage et le mouvement.
  • Le rôle des médias arabes, régionaux et internationaux, dans la représentation de la colère arabe et les stratégies déployées pour soutenir, entretenir, ou dénoncer ces protestations.
  • Les discours d'incitation politique, qu'ils soient produits par les régimes ou par les groupes protestataires, ainsi que leurs mécanismes et moyens discursifs de réfutation.
  • Les espaces traditionnels de protestation en tant qu’espaces rhétoriques produisant des formes de persuasion et d’influence, tels que les places publiques, les rues, les murs, les corps, etc. ainsi que l’impact de ces espaces sur le discours de colère et la rapidité de sa circulation.
  • Les nouveaux espaces de protestation, tels que les terrains de sport, les festivals artistiques, le cinéma, les espaces religieux et spirituels, les réseaux sociaux, etc.
  • L’intertextualité entre les discours de colère dans le monde arabe et sur la scène internationale ainsi que leurs spécificités culturelles.
  • Le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion du discours de colère à travers le monde arabe.
  • Le discours de colère exprimé par les périphéries sociales, religieuses et de genre.
Les propositions de communications (écrites dans les langues du colloque : français, anglais et arabe), accompagnées d’un résumé compris entre 300-500 mots et d’un C.V. synthétique d’une page devront être envoyés avant le 1er février 2020 à <arabicanger20atgmail.com (arabicanger20[at]gmail[dot]com)>.



Le Comité scientifique examinera ces propositions et donnera ses réponses avant le 15 février 2020.



Frais d’inscription à prévoir par participant : 50 euros.
Partenaires

CEFAS, Koweït
MSH Alpes, UGA
Université libanaise, Beyrouth, Liban
Université de Qatar, Doha
Université Paul Valéry Montpellier 3
CNRS

Salam Diab-Duranton salam.diab-duranton [at] univ-grenoble-alpes.fr

Hospitalités, hostilités : récits et représentations

Appel à propositions, Colloque Recherche Du 6 novembre 2019 au 31 mai 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Maison de la Création SFR Création
Université Grenoble Alpes

Ce colloque international, co-organisé par Marie Mianowski et Christine Vandamme, se tiendra les 19 et 20 novembre 2020 à l'UGA.

Dans le contexte contemporain de migrations de populations, alors que des millions de personnes quittent leur terre natale à cause de guerres ou pour des motifs économiques, religieux, politiques ou de changement climatique, ce colloque international a pour but d’éclairer les pratiques et les représentations de l’hospitalité jusqu’à nos jours.

Ce colloque s’inscrit dans un cycle de séminaires organisés durant l’année universitaire 2019-20 à l’Université Grenoble Alpes dans le cadre du projet IDEX HOMES (HOsts Migrations Exchanging Stories) porté par Marie Mianowski.

Merci d’envoyer vos propositions de communication (résumé de 700 mots environ + note biographique) avant le 31 mars 2020 à :
Marie Mianowski (marie.mianowskiatuniv-grenoble-alpes.fr (marie[dot]mianowski[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr))
Christine Vandamme (christine.vandammeatuniv-grenoble-alpes.fr (christine[dot]vandamme[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr))
Maëlle Jeanniard du Dot (maelle.jeanniard-du-dotatuniv-rennes2.fr (maelle[dot]jeanniard-du-dot[at]univ-rennes2[dot]fr))

Partenaires

Le projet HOMES a bénéficié d'une aide de l'État gérée par l'Agence Nationale de la Recherche au titre du programme « Investissements d'avenir » portant la référence ANR-15-IDEX-02.
Ce colloque a également obtenu le soutien de l’ILCEA4 (Univ. Grenoble Alpes) et du GIS EIRE.

Peinture, identité nationale et style international en Europe autour de 1900

Appel à propositions Recherche Du 24 octobre 2019 au 30 novembre 2019

Appel à contributions pour le numéro 45 "Peinture, identité nationale et style international en Europe autour de 1900"de la revue ILCEA.

Numéro coordonné par Eugenia Afinoguénova (Marquette University) et Pierre Géal (Université Grenoble Alpes/ILCEA4).

Le processus de soumission se passe en plusieurs étapes :
• Les propositions, à présenter brièvement sous la forme d’un texte de 2 000-3 000 signes en français, en anglais ou en espagnol, accompagné d’une notice biographique et d’un bref CV de l’auteur, doivent être envoyées d’ici le 30 novembre 2019 à pierre.gealatuniv-grenoble-alpes.fr (pierre[dot]geal[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr) et eugenia.afinoguenovaatmarquette.edu (eugenia[dot]afinoguenova[at]marquette[dot]edu).
• Les auteurs auront une réponse sur l’acceptation ou le refus de leur proposition le 15 décembre 2019.
• Les articles seront ensuite à envoyer pour le 15 mars 2020.
• Les auteurs auront un retour au printemps 2020 après envoi à deux évaluateurs.
• La publication aura lieu en novembre 2021.

Pierre Géal pierre.geal [at] univ-grenoble-alpes.fr

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La légitimation du politique : histoire, mémoire, pouvoir

Appel à propositions, Colloque Recherche Du 7 octobre 2019 au 6 janvier 2020

Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire

Complément lieu

Université Grenoble Alpes

Ce colloque international de l'ILCEA4 organisé les 4 et 5 juin 2020 s'inscrit dans l'axe Politique, Discours, Innovation.

Les stratégies de légitimation du politique se constituent le plus souvent à partir des représentations mémorielles élaborées par les auteurs mêmes de ce discours dans l’histoire nationale. Aussi l’invocation d’une mémoire particulière de l’histoire peut-elle parfois défendre une certaine idée de la nation qui n’en vise pas moins à légitimer la pérennité d’un régime politique sans véritable opposition, ni possible alternance. Ce phénomène d’instrumentalisation de l’histoire permet de façonner des identités nationales selon les modèles dont les pouvoirs en place se réclament. Les discours officiels sur l’histoire inscrits dans les politiques de la mémoire suscitent, en contrepoint, l’émergence de discours alternatifs émanant d’acteurs divers issus de la société civile. Antagonistes dans leurs objectifs de légitimation du politique, ces deux types de discours n’en présentent pas moins souvent des similitudes dans le choix des outils dont ils usent pour promouvoir des modèles politiques décrétés légitimes, en inscrivant leur engagement dans la dimension proprement discursive et narrative, voire artistique.



Le présent colloque se propose de croiser ces deux types de discours dans les sociétés contemporaines. L’enjeu est de parvenir à éclairer des traits communs ou distinctifs dans les stratégies de légitimation impliquant la formation d’identités collectives par la (re)construction du récit historique ou les représentations mémorielles qui lui sont sous-jacentes. Comment le politique est-il légitimé ou délégitimé dans ces deux types de discours ? Le pouvoir est-il la seule finalité de ce processus de légitimation du politique par le recours à l’histoire et à la construction de la mémoire ? Dans quelle mesure un tel phénomène s’observe-t-il d’une aire géoculturelle à l’autre ? Telles sont, dans leurs grandes lignes, les questions auxquelles les intervenants de ce colloque tenteront d’apporter des éléments de réponse.

 

Les propositions de communication peuvent être soumises au plus tard le 6 janvier 2020, à l’adresse suivante : legitimation2020atuniv-grenoble-alpes.fr (legitimation2020[at]univ-grenoble-alpes[dot]fr)



Comité d’organisation : Valéry Kossov, Damien Morier-Genoud, Zakaria Taha.



Comité scientifique : Korine Amacher (Université de Genève), Andrey Dorski (Université de Saint Pétersbourg), Franck Gaudichaud, (Université Toulouse 2), Jean Marcou (Sciences Po Grenoble), Claire Marynower (Sciences Po Grenoble), Victor Louzon (Sorbonne Université), Pascale Melani (Université de Bordeaux 3), Jean-Robert Raviot (Université Paris-Ouest Nanterre), Haoues Seniguer (Sciences Po Lyon), David Serfass (INALCO).

Contacts

valery.kossovatuniv-grenoble-alpes.fr (Valéry Kossov)

damien.morier-genoudatuniv-grenoble-alpes.fr (Damien Morier-Genoud)

zakaria.tahaatuniv-grenoble-alpes.fr (Zakaria Taha)

 

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