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Journée d'étude, Projection / Recherche
Le 3 mai 2021
Cette journée d’étude est un prélude au colloque du même nom qui aura lieu au Centre culturel international de Cerisy-la-Salle en 2022.
CONFÉRENCES DE CHLOÉ CHAUDET, VALÉRIE ORLANDO, ELIANE VIENNOT.
Se rebeller, c’est repartir en guerre selon l’étymologie. Repartir implique un acte de réinvention des pratiques tant artistiques que littéraires et il faut faire crédit à la rébellion et à la dissidence d’une capacité d’inventivité qui atteint l’ensemble des créations humaines, y compris les arts. Plus de soixante-dix ans après la célèbre définition de l’artiste engagé par Sartre, ce colloque se propose d’analyser les reconfigurations actuelles de la résistance dans les arts et les écrits, et ainsi d’étudier en quoi l’émergence de nouvelles épistémologies ont pu profondément les modifier en faisant entrer dans le champ de la connaissance certaines pratiques. Nous nous intéresserons non pas à une aire culturelle mais à un réseau de relations : celles du monde dit occidental articulé aux mondes des «Suds» qui ont expérimenté des formes de rébellions et des révolutions multiples et diverses, mais aussi des manières de vivre la démocratie et de revendiquer des libertés individuelles qui ont été fécondes pour la création.
Cette journée d'étude est organisée dans le cadre du projet "Ré-Part-Résistances Partisanes : Culture visuelle, imaginaires collectifs et mémoire révolutionnaire" porté par le LARHRA.
Équipe organisatrice : Idoli Castro (U. Lyon 2), Sonia Kerfa (UGA), Evelyne Lloze (Jean-Monnet-St-Etienne), Sophie Large (U. Tours) et Yolaine Parisot (UPEC).
Se rebeller, c’est repartir en guerre selon l’étymologie. Repartir implique un acte de réinvention des pratiques tant artistiques que littéraires et il faut faire crédit à la rébellion et à la dissidence d’une capacité d’inventivité qui atteint l’ensemble des créations humaines, y compris les arts. Plus de soixante-dix ans après la célèbre définition de l’artiste engagé par Sartre, ce colloque se propose d’analyser les reconfigurations actuelles de la résistance dans les arts et les écrits, et ainsi d’étudier en quoi l’émergence de nouvelles épistémologies ont pu profondément les modifier en faisant entrer dans le champ de la connaissance certaines pratiques. Nous nous intéresserons non pas à une aire culturelle mais à un réseau de relations : celles du monde dit occidental articulé aux mondes des «Suds» qui ont expérimenté des formes de rébellions et des révolutions multiples et diverses, mais aussi des manières de vivre la démocratie et de revendiquer des libertés individuelles qui ont été fécondes pour la création.
Cette journée d'étude est organisée dans le cadre du projet "Ré-Part-Résistances Partisanes : Culture visuelle, imaginaires collectifs et mémoire révolutionnaire" porté par le LARHRA.
Équipe organisatrice : Idoli Castro (U. Lyon 2), Sonia Kerfa (UGA), Evelyne Lloze (Jean-Monnet-St-Etienne), Sophie Large (U. Tours) et Yolaine Parisot (UPEC).
Date
Le 3 mai 2021
Complément date
à partir de 11h00
Contact
Sonia Kerfa
sonia.kerfa [at] univ-grenoble-alpes.fr
à télécharger
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