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Journée d'étude / Recherche
Le 10 mai 2019
Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Journée d'étude organisée par des membres de l'ILCEA4 et une étudiante en Master de l'UFR LE.
L'accès au vote ou l'exercice du droit de vote pour de nombreux citoyens (traditionnels ou nouvellement acceptés comme tels) dans les différents pays du monde anglophone s'est souvent heurté à une multitude d'obstacles émanant, le plus souvent, de la culture dite « dominante », qui viserait à limiter ce qui apparaît désormais comme un droit fondamental dans le monde contemporain.
Cela fut notamment le cas pour les groupes considérés comme minoritaires ou marginaux, selon des critères de genre (les femmes à une époque), en fonction de l'orientation sexuelle (la communauté LGBT), ou sur la base d'arguments ethno-raciaux (les Noirs, les Latinos ou encore les Amérindiens, pour ne citer qu'eux, aux États-Unis, mais également les Aborigènes en Australie ou les Maoris en Nouvelle-Zélande, par exemple).
Dans ce contexte, si les partis politiques ont parfois cherché à attirer ces (nouveaux) électeurs potentiels pour asseoir leurs victoires électorales et élargir leur base, à travers des stratégies et pratiques (qui ont fait l’objet de notre première journée d’étude, au mois de février ), ce sont souvent les organisations civiques de différentes natures et les mouvements populaires à la base de la société civile (mouvements « grassroots ») qui ont entrepris de mobiliser ou de re-mobiliser ces électorats variés, dont le point commun demeure leur degré d'intégration variable selon les époques. Au-delà de la volonté d'inciter ces électorats à se positionner en faveur d'un parti ou d'un autre, ces organisations ont pour but de mettre en lumière le rôle du droit de vote et de la mobilisation politique pour permettre à ces groupes minoritaires de faire entendre leur voix.
Comité d’organisation : Grégory Benedetti, Véronique Molinari et Léa Buyat (Université Grenoble Alpes).
Cela fut notamment le cas pour les groupes considérés comme minoritaires ou marginaux, selon des critères de genre (les femmes à une époque), en fonction de l'orientation sexuelle (la communauté LGBT), ou sur la base d'arguments ethno-raciaux (les Noirs, les Latinos ou encore les Amérindiens, pour ne citer qu'eux, aux États-Unis, mais également les Aborigènes en Australie ou les Maoris en Nouvelle-Zélande, par exemple).
Dans ce contexte, si les partis politiques ont parfois cherché à attirer ces (nouveaux) électeurs potentiels pour asseoir leurs victoires électorales et élargir leur base, à travers des stratégies et pratiques (qui ont fait l’objet de notre première journée d’étude, au mois de février ), ce sont souvent les organisations civiques de différentes natures et les mouvements populaires à la base de la société civile (mouvements « grassroots ») qui ont entrepris de mobiliser ou de re-mobiliser ces électorats variés, dont le point commun demeure leur degré d'intégration variable selon les époques. Au-delà de la volonté d'inciter ces électorats à se positionner en faveur d'un parti ou d'un autre, ces organisations ont pour but de mettre en lumière le rôle du droit de vote et de la mobilisation politique pour permettre à ces groupes minoritaires de faire entendre leur voix.
Comité d’organisation : Grégory Benedetti, Véronique Molinari et Léa Buyat (Université Grenoble Alpes).
Date
Le 10 mai 2019
Localisation
Saint-Martin-d'Hères - Domaine universitaire
Complément lieu
Amphi MSH-Alpes
à télécharger
Contacts
gregory.benedettiuniv-grenoble-alpes.fr (Grégory Benedetti)
veronique.molinariuniv-grenoble-alpes.fr (Véronique Molinari)
lea.buyatetu.univ-grenoble-alpes.fr (Léa Buyat)
veronique.molinariuniv-grenoble-alpes.fr (Véronique Molinari)
lea.buyatetu.univ-grenoble-alpes.fr (Léa Buyat)
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